Ingrid a 36, 12, 49 ans… Elle est amoureuse et le monde s’effondre. Encore et encore.
À chaque épisode se réinvente. Elle, le monde.
Entre les cortèges de manifs, les ruines de frontières, les cheminées industrielles et les forêts en carton-pâte, Ingrid nous emmène en balade aux confins de ses amours perdues et à venir.
Ses bagages pour le road-trip : un appareil-photo jetable, une playlist Bollywood, des décors de cinéma scandinave et un sens certain de la répartie.
Ici on mêle allègrement références de pop culture et codes de la représentation, lyrisme et premier degré, sujets vertigineux et technologie désuète, utopies politiques et théories du complot (sur Joe Dassin).
INGRID entend dévier la charge des bulldozers en marche grâce à des outils de théâtre. Et contrer le nihilisme par de vastes feux de joie. Chiche.