« L’homme pénètre, la femme est pénétrée. »
Fête des sexes opposés avec chansons, Je te pardonne (Harvey Weinstein), synthétise en musiques le phénomène « Me too », convoque ses figures dignitaires et ses grands criminels dans un procès ouvert à la vindicte populaire et à tous les pervers narcissiques de l’espèce masculine.