1 - 31 décembre 2016

La grenouille avait raison



Salle Renaud-Barrault
DU MARDI AU SAMEDI, 20H30 - DIMANCHE, 15H. REPRÉSENTATION DU 31 DÉCEMBRE À 15H
Relâche : LES LUNDIS, LES 8, 15, 22, 25 ET 29 DÉCEMBRE
Durée 1h20
[SUPPLÉMENTAIRE] > Représentation supplémentaire jeudi 29 décembre à 20h30. 

Synopsis

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Rôdons si vous le voulez bien.
Nouveau monde de James Thierrée, avec envolées, tableaux magiques, mystères, métamorphoses. L'artiste poursuit sa construction d'univers parallèles, puise dans toutes les disciplines, donne vie à des poèmes fantasmagoriques.



 

Nouveau monde de James Thierrée, avec envolées, tableaux magiques, mystères, métamorphoses. « Pourquoi on accroche des fils aux cintres à jardin plutôt qu'à cour ? demande-t-il, pourquoi mon corps s'articule en général à l'envers du naturel, pourquoi ce qui est catégoriquement prévu rarement se réalise ? Hein ? Et puis surtout pourquoi on imagine une histoire et on l'entreprend ? Je n'en sais rien. » Pour l'artiste et acrobate, il s'agit de faire du théâtre « pour ne pas avoir à expliquer ce qui remue à l'intérieur, plutôt pour rôder autour. Donc rôdons si vous le voulez bien... ». « La grenouille avait raison. Pourquoi ? Ni les années qui passent, ni cette scène qui me hante joyeusement ne m'apprennent au fond pourquoi on fait ceci ou cela sur ce grand bateau ivre que l'on appelle théâ... (ce mot a besoin de vacances). »
En 1998, James Thierrée fonde sa compagnie, signe une mythique Symphonie du hanneton. Puis La Veillée des abysses ; Au revoir parapluie ; Raoul et Tabac rouge, spectacles étourdissants d'inventions et de magie. Acrobate, comédien, musicien, il sollicite la fantaisie du cinéma burlesque, la virtuosité des arts du cirque, la grâce de la danse. Après avoir joué au cinéma le clown blanc de Chocolat, James Thierrée poursuit au Rond-Point la construction d'univers parallèles. Il puise dans toutes les disciplines, donne vie à des poèmes fantasmagoriques, visions hallucinées d'un Jérôme Bosch repeint par Magritte, invitation à une expédition fabuleuse. Pierre Notte

Distribution

Conception et mise en scène : James Thierrée
Avec : Jean-Luc Couchard, Valérie Doucet, Samuel Dutertre, Mariama, Thi Mai Nguyen, James Thierrée
Scénographie et musique originale : James Thierrée
Coordination technique : Anthony Nicolas
Son : Thomas Delot
Lumières : Alex Hardellet, James Thierrée
Costumes : Pascaline Chavanne
Bestiaire : Victoria Thierrée
Régie plateau : Samuel Dutertre, Lorenzo Graouer, Anthony Nicolas
Habillage et plateau : Sabine Schlemmer
Assistanat à la mise en scène : Pénélope Biessy, Sidonie Pigeon
Assistanat à la scénographie : Laura Léonard
Construction, fabrication, confection décor et accessoires : Thomas Delot, Samuel Dutertre, Fabrice Henches, Anthony Nicolas, Sabine Schlemmer, Monika Schwarzl, Matthieu Bony, Olvido Lanza Bermejo, Simon Zaoui, Patrick Lebreton, Camille Joste
Peintures et patines : Marie Rossetti
Production et coordination : Emmanuelle Taccard, Laurent Daufès

Mentions de production

production déléguée La Compagnie du Hanneton – Junebug, coproduction Théâtre de Carouge – Atelier de Genève, Les Célestins – Théâtre de Lyon, Radiant-Bellevue / Caluire et Cuire, Théâtre du Rond-Point, Théâtre de la Ville – Paris, Théâtre Royal / Namur, La Coursive – Scène nationale / La Rochelle, Sadlers Wells / Londres en collaboration avec Crying Out Loud, L’arc – Scène nationale / Le Creusot, , Opéra de Massy, Odyssud – Espace culturel / Blagnac, Théâtre de Villefranche – Scène conventionnée, La Comédie – Scène nationale / Clermont-Ferrand, Théâtre Sénart – Scène nationale, l'Espace Jean Legendre – Théâtre de Compiègne, Le Festival international d’Edimbourg, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication – Direction générale de la création artistique, La compagnie du Hanneton est conventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication – Direction générale de la création artistique et soutenue par la Fondation BNP Paribas 

Partenaires


presse

Le Parisien (Nedjma Van Egmond) • 15 décembre 2016

Il était une fois le roi Thierrée?

Dans un décor aux airs de bateau ivre, avec velours rouge somptueux et folle machinerie, on retrouve l'artiste protéiforme et sa fantasmagorie époustouflante.

Vogue (SR) • 5 décembre 2016

La performance : James Thierrée

Il faut le voir jouer de son corps, arrondir ses mouvements, inventer de nouvelles manières de bouger, visions d'une hypnotique beauté qu'il dévoile de spectacle en spectacle.

marie france (Bernard Babkine) • 5 décembre 2016

Magique voyage

Le bateau tangue, les machineries créent des espaces incroyables pour cette curieuse symphonie où il est question de famille et d'amour filial.  

La Vie (DR) • 1 décembre 2016

La grenouille avait raison

Où bonheur rime avec mélancolie. Avec sa tribu de mimes-musiciens-magiciens, l'homme à tout faire de la comédie adapte un conte des frères Grimm.

Version Femina (J.R.-T) • 28 novembre 2016

L'ensorceleur

Maître des arts illusoires, James Thierrée nous ensorcelle avec ce spectacle mélancolique et fantasmagorique sur la violence de l'enfance. La scénographie - prouesse de technologie - est un bijou.

ELLE (Caroline Six) • 25 novembre 2016

La grenouille avait raison

Le magicien acrobate, danseur, musicien, comédien, capitaine James Thierrée nous fait décoller pour sa planète. Sa poésie et son humour bouleversants nous avaient manqué.

Télérama (Emmanuelle Bouchez) • 15 novembre 2016

La grenouille avait raison

Ces jeux d'une tribu aux airs d' »enfants perdus » offrent une émotion forte. James Thierrée revient sur scène en chef de file d'une communauté burlesque et met ses compagnons à l'épreuve de machines facétieuses.

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