8 novembre - 29 décembre 2019

La baleine et le camp naturiste



Salle Renaud-Barrault
les 8, 12, 16, 20 et 29 novembre ; les 3, 7, 11, 20 et 24 décembre, 20h30 ; le 24 novembre, les 15 et 29 décembre, 16h
Relâche : les lundis et jeudis
Durée 2H10
Adieu Ferdinand ! Suite et fin.

À VOIR AUSSI

Philippe Caubère s'installe pour deux mois avec "Adieu Ferdinand ! suite et fin.", trois spectacles en alternance, dont aussi : Le Casino de Namur I et Le Casino de Namur II.

Rencontre-débat avec Philippe Caubère à l'issue de la représentation de La Baleine et le camp naturiste, le dimanche 15 décembre.

Synopsis

Monsieur le CRS, il y a mon mari qui pèle !
Ferdinand et Clémence se rencontrent chez Ariane. Coup de foudre au Théâtre du Soleil. Mais très vite le jeune homme tente de convaincre sa complice que son infidélité peut leur être bénéfique. Première trahison sexuelle. À son tour, elle le persuade de passer quelque temps au camp de Montalivet, paradis naturiste aux origines obscures, avec séances de gymnastique, apéros chez les voisins ou cours de planche à voile. Prix Plaisir de la SACD, Molière du meilleur comédien et Prix du théâtre de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre, Philippe Caubère refait le monde et réécrit l’histoire. Fauve, seul en scène, clown protéiforme au corps surexpressif, tragédien d’une force comique inouïe, il exulte et exalte les grandeurs et les misères de l’amour fou. Pierre Notte

Sa prouesse émerveille. Qu’un acteur porte tant de mémoire, de mots, d’insolence, de rire, d’indignations et d’idéal est un prodigieux acte de foi. Dans le théâtre, dans le monde. FABIENNE PASCAUD — TÉLÉRAMA

Comment, seul en scène, Caubère réussit-il ce miracle, nous faire voir, mieux que si on y était, la foule des nudistes aux attributs brinquebalants, et leurs ridicules ? On en pleure de rire. JEAN-LUC PORQUET — LE CANARD ENCHAÎNÉ


Distribution

Texte, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère
Assistanat à l'écriture : Roger Goffinet
Lumière : Claire Charliot
Son : Mathieu Faedda
Chansons : André Burton
Photographies : Michèle Laurent, Sébastien Marchal
Presse : Lynda Mihoub
Administration : Guy Robert

Mentions de production

Production La Comédie Nouvelle, avec le soutien du Ministère de la Culture, coréalisation Théâtre du Rond-Point
La pièce a été créée après avoir été improvisée devant la caméra de Pascal Caubère et les regards de Clémence Massart et Véronique Coquet.
Adieu Ferdinand ! Suite et fin est dédié à Louis de Montauzan.

Partenaires


presse

Télérama (Fabienne Pascaud) • 4 décembre 2019

" Devant ce plateau noir et nu, nanti d'une seule chaise vide. Sans rien d'autre que son corps, sa force, son génie, l'acteur y aura dessiné et incarné le monde, les hommes. Il aura sculpté la vie de toute sa générosité. […] Courez-y, bientôt Ferdinand va disparaître..." 

Télérama (Fabienne Pascaud)

« Qu'un acteur porte tant de mémoire, de mots, d'insolence, de rire, d'indignations et d'idéal est un prodigieux acte de foi. Dans le théâtre, dans le monde. »

Le Canard enchaîné (Jean-Luc Porquet)

« Chez lui, on baise, on pète, et le rire n'est jamais sale. Délicat, il sait aussi d'un rien tirer une petite scène délicieuse. »

L'Humanité (Charles Silvestre)

« Caubère, comme Faust, a passé un pacte avec le diable. Mais ce diable n'est pas celui auquel on vend son âme, c'est le diable du théâtre qui vous fait découvrir la vôtre, l’insoupçonnée. »

L'Express (Eric Libiot)

« Des histoires qui apparaissent banales, mais que Philippe Caubère sait rendre énooormes, pathétiques, drôles, émouvantes. »

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