Synopsis
Vers un monde de travailleurs sans travail ?
Le pire scénario de demain, avait prédit Hannah Arendt, serait « une société de travailleurs sans travail, c'est-à-dire privés de la seule activité qui leur reste ». Comment évoluer alors entre le marteau de la précarité et l'enclume de la performance généralisée, qui fait de la qualité quelque chose comme une propriété émergente de la quantité, et dont nous ne cessons de souffrir, jusque dans les métiers les moins soupçonnables de pénibilité ?